À La Beaujoire, on jauge encore l'étendue d'un mercato d'été globalement mauvais, et de l'absence de renfort à certains postes. Un poste cristallise notamment les critiques : arrière latéral gauche.
Pendant que Nicolas Cozza enchaîne les performances insipides sur le flanc gauche nantais, un certain Arsène Kouassi régale au Moustoir. La comparaison est cruelle. Elle est surtout révélatrice.
Le flair, Lorient l'a eu. Recruté pour seulement 1,2 million d'euros en provenance de l'AC Ajaccio, Arsène Kouassi s'est imposé comme une évidence dans le système d'Olivier Pantaloni. À 21 ans, le piston gauche burkinabé affiche des statistiques éloquentes : 13 matchs, 1 but, 3 passes décisives, et un gros volume de jeu.
De l'autre côté, c'est le naufrage. Nicolas Cozza, prêté pour la troisième saison consécutive par Wolfsburg, ne convainc personne. Le latéral de 26 ans n'est plus considéré comme un titulaire aux yeux de Luis Castro, bien qu'il soit le seul "spécialiste" au poste.
Waldemar Kita a beau avoir encaissé près de 40 millions d'euros de ventes cet été, seuls 4 millions ont été réinvestis. Lâcher 1.2 millions d'euros pour Arsène Kouassi n'aurait pas été du luxe. Preuve un peu plus que la cellule de recrutement nantaise est aux abois.
Pendant que Nicolas Cozza enchaîne les performances insipides sur le flanc gauche nantais, un certain Arsène Kouassi régale au Moustoir. La comparaison est cruelle. Elle est surtout révélatrice.
Le flair, Lorient l'a eu. Recruté pour seulement 1,2 million d'euros en provenance de l'AC Ajaccio, Arsène Kouassi s'est imposé comme une évidence dans le système d'Olivier Pantaloni. À 21 ans, le piston gauche burkinabé affiche des statistiques éloquentes : 13 matchs, 1 but, 3 passes décisives, et un gros volume de jeu.
De l'autre côté, c'est le naufrage. Nicolas Cozza, prêté pour la troisième saison consécutive par Wolfsburg, ne convainc personne. Le latéral de 26 ans n'est plus considéré comme un titulaire aux yeux de Luis Castro, bien qu'il soit le seul "spécialiste" au poste.
Waldemar Kita a beau avoir encaissé près de 40 millions d'euros de ventes cet été, seuls 4 millions ont été réinvestis. Lâcher 1.2 millions d'euros pour Arsène Kouassi n'aurait pas été du luxe. Preuve un peu plus que la cellule de recrutement nantaise est aux abois.
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